Bonjour à tous,
J’ai une interrogation concernant la mise en œuvre de l’assurance emprunteur pour un prêt immobilier. J’ai un prêt ouvert au CIC depuis 2018 avec l’assurance emprunteur associé. Il y a un an, j’ai été mis à l’arrêt pour raisons médicales puis, 5 mois après, j’ai repris mon poste mais à temps partiel. A cette époque je n’étais pas en état de prendre les décisions ou faire les démarches appropriées auprès de ma banque et assurance.
Aujourd’hui je suis en litige avec l’assureur qui refuse toute prise en charge pour cette période et la suivante, au motif que le délai pour la franchise est étendu à 180 jours et qu’une reprise à temps partiel ne rentre pas dans la prise en charge malgré les arrêts du médecin et du suivi toujours en cours.
Selon moi, il y a eu un défaut de conseil à la souscription de cette assurance eu égard au fait que le conseiller m’a clairement dissuadé de m’orienter vers la concurrence à l’époque, alors que j’en avais tout à fait le droit. Selon lui, il était question de faciliter les démarches en cas de problèmes tel que celui-ci, étant donné que toujours selon ses dires nous étions sur un service interne au CIC. Cela devait permettre une meilleure considération et une rapidité de traitement des dossiers.
Aujourd’hui les faits me prouvent qu’il n’en est rien. Si j’avais souscrit en dehors de la banque j’économisais plus de 3 000 € sur la totalité du prêt.
La franchise, du fait de l’origine de mon arrêt, a été doublée à 180 jours au lieu des 90 jours habituels. Aujourd’hui je conteste aussi ce point car il me semble que la banque aurait dû me proposer le rachat de cette franchise éventuellement selon le cas de figure.
Concernant ma reprise d’activité professionnelle à temps partiel, je ne comprends pas pourquoi l’assurance emprunteur ne prends pas le relais vu la perte de revenue partielle. Les ACM ne donnent aucun élément factuel justifiant de cette disposition. En attendant je continue à m’orienter vers un retour à plein temps et dans cette attente, je passe en invalidité le mois prochain (raison administrative après un an d’arrêt).
La reprise à temps partielle était à mon initiative avec l’accord de mon médecin traitant, du médecin conseil et la médecine du travail, je suis désorienté par cette double sanction. En fait si je suis la logique de l’assureur, il vaut mieux ne pas travailler que de vouloir reprendre et ne pas abuser des indemnisations possibles. Sans même m’avoir consulté physiquement, j’ai essuyé deux refus du médecin mandaté par l’assureur alors que le médecin conseil pour le travail valide mon temps partiel.
J’ai écrit plusieurs fois à l’assureur depuis le début de l’année pour une prise en compte mais vainement. J’ai contacté la médiation de l’assurance, qui m’a indiqué qu’i fallait envoyer une réclamation à mon assurance.
Aujourd’hui je bataille et perd mon temps pour avoir une reconnaissance toute ou partiel dans ce dossier, je n’ai que des refus sans explications claires notamment sur la partie temps partiel, défaut de conseil et rachat de la franchise.
Par conséquent, je remercie toute personne qui pourrait m’éclairer ou m’orienter dans le cadre de cette impasse et notamment pour une prise en charge même partielle.
Un grand merci.
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