La maladie de Parkinson est une affection évolutive très handicapante qui peut causer une peur certaine pour la personne qui en souffre mais aussi pour son entourage. Fort heureusement, malgré ce lourd handicap, il reste cependant possible à la personne qui en est atteinte de voir plus loin et de concrétiser ses projets en accédant à l'emprunt.
Lors d'une demande de prêt effectuée par une personne atteinte de la maladie de Parkinson, les banques et compagnies d'assurance demanderont à ce que celle-ci remplisse un questionnaire portant sur son état de santé, comme pour toute autre candidat à l'emprunt, mais aussi de se soumettre à des examens médicaux complémentaires afin de bien évaluer les risques qu'elle représente. Il faut savoir qu'ils ne peuvent refuser d'assurer quelqu'un sous prétexte qu'il souffre de la maladie de Parkinson.
Une fois les risques évalués et selon les assureurs, il sera très certainement demandé à l'assuré de payer ce que l'on appelle une surprime en raison de son état de santé aggravé. Il s'agit d'un majoration de la prime d'assurance ne pouvant excéder 1,5 point du taux effectif global de l'emprunt (TEG). Autant dire que cela peut tout de même coûter très cher.
Signée par les établissements de crédits, les compagnies d'assurance et les associations, la convention AERAS (s'Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) permet à une grande majorité des personnes souffrant d'une maladie grave d'accéder à l'assurance et au crédit.
Si vous souffrez de la maladie de Parkinson, en faisant appel à un courtier, vous accéderez aux offres les moins chères du marché qui seront les plus adaptées à votre situation. En plus de vous obtenir un tarif négocié au plus bas, le courtier s'assurera que vous bénéficiiez de la couverture la plus performante.
Avant de déclencher le financement de votre projet, assurez-vous de choisir une assurance de pret pas chere pour économiser car les lois Lagarde et Murcef vous offrent cette possibilité.